Ce bureau de campagne présente les caractéristiques de ceux qui étaient utilisés pour percevoir l’octroi sur l’entrée des marchandises à l’entrée des villes les jours de marché. Sa structure rustique en chêne massif repose sur une entretoise en H. Il possède un large tiroir où remiser quittances et monnaies.

Bureau de campagne en chêne – XIXᵉ siècle – Sarladais – [MP053]

Ce bureau de campagne présente les caractéristiques de ceux qui étaient utilisés au XIXe siècle pour percevoir l’octroi sur l’entrée des marchandises à l’entrée des villes les jours de marché. Sa structure rustique en chêne massif repose sur une entretoise en H. Il possède un large tiroir où l’on remisait quittances et monnaies.

Ce petit miroir Louis XIV en bois doré révèle à lui seul tout le savoir faire des maîtres miroitiers du XVIIIe siècle. Ces motifs floraux stuqués, ses surfaces guillochées, sa structure en pare close et sa glace central d’origine en font un idéal compagnon de boudoir intime et raffiné.

Petit miroir en bois doré – Louis XIV – XVIIIᵉ siècle – Midi Pyrénées – [ME110]

Ce petit miroir Louis XIV en bois doré révèle à lui seul tout le savoir faire des maîtres miroitiers du XVIIIe siècle. Ces motifs floraux stuqués, ses surfaces guillochées, sa structure en pare close et sa glace central d’origine en font un idéal compagnon de boudoir intime et raffiné.

Cette cruche à eau en terre cuite vernissée provient d’un atelier de campagne situé à Brioude, en Haute-Loire. Ce type d’atelier de poterie auvergnat ne fonctionnait qu’en hiver, lorsque les paysans étaient libérés des travaux des champs. L’argile est rouge car naturellement chargée en oxyde de fer. Cette argile brute était chamottée, c’est-à-dire chargée en sable de rivière et en poudre d’argile cuite puis concassée.

Cruche à eau paysanne en terre cuite vernissée – XIXᵉ siècle – Auvergne – [PA078]

Après les travaux des champs, les joies de la poterie ! En Auvergne au XIX siècle , avec le même savoir faire que leurs ancêtres traditions des Arvernes gaulois, les paysans fabriquaient eux-mêmes leurs poteries avec la belle argile rouge du cru. Cette cruche à eau nous rappelle leur bon goût et leur dextérité.

Voici une petite huile sur toile d’une grande finesse d’exécution. On y observe une délicate scène galante. Un Mousquetaire au bras duquel se tient une gente Dame, parvient à faire se poser sur sa main un oiseau. Les personnages semblent nimbés de lumière dans un décor forestier qui par contraste semble glisser vers la nuit tombée.

Mousquetaire et gente Dame – Huile sur toile – XIXᵉ siècle – [ME122]

Voici une petit huile sur toile d’une grande finesse d’exécution. On y observe une délicate scène galante. Un Mousquetaire au bras duquel se tient une gente Dame, parvient à faire se poser sur sa main un oiseau. Les personnages semblent nimbés de lumière dans un décor forestier qui par contraste semble glisser vers la nuit tombée.

Cette table de repas Louis XIII en chêne provient du Château de Turenne, situé en Corrèze. Au XVIIe siècle, le mobilier de confort n’appartient qu’aux Seigneurs. Tandis que les gens de maison mangeaient debout sur une table d’office haute, autour de cette table bien proportionnée pouvaient s’asseoir les maîtres de maison et leurs invités.

Table de repas en chêne – Louis XIII – XVIIᵉ siècle – Corrèze – [ME107]

Cette table de repas Louis XIII provient du Château de Turenne, situé en Corrèze. Au XVIIe siècle, le mobilier de confort n’appartient qu’aux Seigneurs. Tandis que les gens de maison mangeaient debout sur une table d’office haute, autour de cette table en chêne pouvaient s’asseoir les maîtres de maison et leurs invités.

Ce tonnelet à huile provient du célèbre centre potier de la Chapelle-des-Pots, situé dans l’ancienne province des Charentes qu’on appelait la Saintonge. C’est uniquement sur le territoire de la Saintonge qu’à partir de Moyen-Âge, avec la belle argile locale, se sont fabriquées ces poteries en forme de tonnelets, où l’on réservait l’huile de noix nécessaire pour l’éclairage de chaque foyer.

Tonnelet à huile en terre cuite vernissée – XIXᵉ siècle – Saintonge – [PA080]

Ce tonnelet à huile provient du célèbre centre potier de la Chapelle-des-Pots, situé dans l’ancienne province des Charentes qu’on appelait la Saintonge. C’est uniquement sur le territoire de la Saintonge qu’à partir de Moyen-Âge, avec la belle argile locale, se sont fabriquées ces poteries en forme de tonnelets, où l’on réservait l’huile de noix nécessaire pour l’éclairage de chaque foyer.

Voici une pochade, peinture figurative exécutée sur le vif par un peintre en extérieur. L’artiste privilégie la rapidité d'exécution afin de capter la spontanéité de l'impression. La pochade constitue une œuvre à part entière. Celle-ci représente une escorte de Hussards entretenant une conversation avec une paysanne sur un chemin de terre.

Escorte de Hussards – Huile sur toile – XIXᵉ siècle – [ME120]

Voici une pochade, peinture figurative exécutée sur le vif par un peintre en extérieur. L’artiste privilégie la rapidité d’exécution afin de capter la spontanéité de l’impression. La pochade constitue une œuvre à part entière. Celle-ci représente une escorte de Hussards entretenant une conversation avec une paysanne sur un chemin de terre.

Ce qui caractérise ce chandelier en bronze du XVIIe siècle, c’est qu’il n’a jamais été transformé afin de fonctionner à l’électricité. Ici tout est d’origine et seules les chandelles sont adaptées à ses bougeoirs. De plus des burettes sont destinées à recevoir huile de noix et mèches pour compléter le dispositif d’éclairage résolument intimiste.

Lustre chandelier en bronze – Louis XIV – XVIIᵉ siècle – Quercy – [ME117]

En bronze d’une belle teinte dorée, ce lustre de milieu peut recevoir des chandelles au sommet des quatre bougeoirs qui surmontent ses branches. Comme cela se pratiquait au XVIIe siècle, au centre sont disposées quatre burettes destinées à recevoir huile de noix et mèches, afin de compléter le dispositif d’éclairage original. En dessous une coupelle se tient prête à absorber les éventuels débordements.

Pour dérouler, mesurer et découper leurs rouleaux de tissus, les drapiers utilisaient ce type de meuble de métier, la table de drapier. Celle-ci provient de Corrèze, elle est composée de longues planches de châtaignier. Elle mesure 3 mètres de long et peut aujourd’hui être utilisée en plan de travail aussi bien qu’en table de réception.

Table de drapier en châtaignier – XIXᵉ siècle – Corrèze – [MP052]

Voici une table de drapier en châtaigner, elle provient de Corrèze. Ce meuble de métier bénéficie de généreuses proportions et peut par conséquent, de nos jours, être utilisé comme plan de travail aussi bien qu’au titre de table de réception pour de nombreux convives.

Voici une table à énoiser qui provient de Haute-Loire. L’épaisse planche de mélèze qui constitue son plateau porte en creux à chaque coin la marque de l’encoche où la noix était placée pour être cassée. Un détail charmant qui fait toute l’authenticité de ce meuble paysan.

Table à énoiser en mélèze – XIXᵉ siècle – Haute-Loire – [MP051]

Un épais plateau en mélèze issu des forêts du Velay et, à chaque coin, comme de petites niches en creux surprenantes… Voici une authentique table à énoiser, parfaitement conçue pour caler les noix au moment de les frapper grâce au maillet dénommé la tricote, sans qu’elles n’aient la moindre possibilité de rouler à l’autre bout de la table.

Ce coq est composé de deux coques en cuivre soudées, l’ensemble est monté sur un axe creux. Sa large queue déployée lui permettant de prendre le vent pour faire office de girouette.

Coq de clocher en cuivre – XIXᵉ siècle – Languedoc-Roussillon – [MP050]

On lui prête le pouvoir de chasser les démons, c’est à ce titre qu’il fut choisi par le pape Léon IV au IXᵉ siècle pour trôner sur les clochers de nos églises. Fort rare, ce coq de clocher tout de cuivre est pour un temps redescendu, prêt à venir protéger votre demeure.

De taille imposante, cette plaque de cheminée issue des illustres fonderies du Périgord présente l’héraldique royale traditionnelle, constituée d’une couronne entourée de fleurs de lys et de pommes de pins, promesses de longévité. Elle fut coulée en 1644, cette date faisant partie de son décor établit son attrait historique et son authenticité.

Plaque de cheminée royale en fonte – XVIIᵉ siècle – Périgord – [ME113]

De taille imposante, cette plaque de cheminée issue des illustres fonderies du Périgord présente l’héraldique royale traditionnelle, à savoir une couronne entourée de fleurs de lys et de pommes de pins, promesses de longévité. Elle fut coulée en 1644, cette date faisant partie de son décor établit son attrait historique et son authenticité.

Voici un coffre en chêne clair datant du XVIIIe siècle. Son imposant médaillon central embrasse les traverses du haut et du bas. Il est entouré par deux panneaux ornés de fleurs. Les planches de chêne de plein cœur provenant des forêts vosgiennes qui ont été choisies pour le fabriquer ont traversé quatre siècles sans le moindre dommage. Ce coffre de mariage est tout bonnement resplendissant.

Coffre à médaillon en chêne clair – XVIIIᵉ siècle – Les Vosges – [MP041]

Ce coffre en chêne clair provenant des Vosges et datant du XVIIIe siècle resplendit grâce à son médaillon central qui embrasse toute la hauteur disponible. Ce généreux motif est de plus mis en valeur par les panneaux ornés de fleurs qui l’entourent.

Voici un buffet façonné en merisier au XVIIIe siècle dans la Vallée du Rhône. Il est pourvu d’une abondance de motifs floraux impressionnante. On est frappé par la beauté des médaillons saillants sculptés sur chacune des portes, dotés d’énormes fleurs en leurs milieux et entourés aux quatre coins extérieurs de fleurettes identiques. Ce motif de fleurette est repris par les boutons des tiroirs, entourés pour leur part de rameaux bourgeonnants.

Buffet fleuri en merisier – Louis XV – XVIIIᵉ siècle – Vallée du Rhône – [MP044]

Ce buffet fleuri façonné en merisier au XVIIIe siècle en Vallée du Rhône, célèbre le style Louis XV de fort gracieuse façon. Nous le qualifions de « fleuri » en raison de l’abondance inhabituelle de motifs floraux disposés de part et d’autre, sur chacune des portes et chacun des tiroirs, en effet miroir.

Voici un authentique meuble auvergnat, témoignage de l’art populaire tel qu’il s’exprimait au XVIIIe siècle dans le Sud Est du Massif central. Il s’agit d’un coffre de mariage assemblé avec d’épaisses planches de mélèze dont l’ornementation naïve s’inspire des répertoires stylistiques Louis XIII et Louis XIV.

Coffre de mariage en mélèze – XVIIIᵉ siècle – Haute-Loire – [MP048]

Voici un authentique meuble auvergnat, témoignage de l’art populaire tel qu’il s’exprimait au XVIIIe siècle dans le Sud Est du Massif central. Il s’agit d’un coffre de mariage assemblé avec d’épaisses planches de mélèze dont l’ornementation naïve s’inspire des répertoires stylistiques Louis XIII et Louis XIV.

Statufiée et drapée d’une écharpe émeraude, sa douce panse ne craint en rien les outrages du temps. Au contraire, c’est lui qui l’embellit, faisant de cette poterie charentaise une jarre star, et même pour tout dire, une authentique huile des beaux quartiers.

Jarre à huile pétrifiée – XIXᵉ siècle – Saintonge / Charente – [PA077]

Statufiée et drapée d’une écharpe émeraude, sa douce panse ne craint en rien les outrages du temps. Au contraire, c’est lui qui l’embellit, faisant de cette poterie charentaise une jarre star, et même pour tout dire, une authentique huile des beaux quartiers.

Courbes, volutes et coquilles Saint-Jacques, tout fleure bon la Provence et le pur style Louis XV dans ce miroir rocaille en bois doré, reposant sur deux jolis pieds. Il date du XVIIIe siècle et nous parvient dans un état de conservation remarquable. Sa glace au mercure et son cadre en bois revêtu d’une dorure à la feuille d’or sur bol d’Arménie sont d’origine.

Miroir rocaille en bois doré – Louis XV – XVIIIᵉ siècle – Provence – [ME111]

Courbes, volutes et coquilles Saint-Jacques, tout fleure bon la Provence et le pur style Louis XV dans ce miroir rocaille en bois doré. Il date du XVIIIe siècle et nous parvient dans un état de conservation remarquable. Sa glace au mercure et son cadre en bois revêtu d’une dorure à la feuille d’or sur bol d’Arménie sont d’origine.

Voici un ancien lutrin de musicien façonné en noyer dans le Sud Ouest du XVIIIe siècle. Son pupitre double face est ajouré et pivotant, ce qui lui confère transparence et maniabilité. Élément inhabituel et appréciable, ce double pupitre cossu repose sur une tablette en bois massif, ce qui garantit sa stabilité.

Lutrin de musicien en noyer – fin XVIIIᵉ siècle – Sud Ouest – [ME109]

Voici un ancien lutrin de musicien façonné en noyer dans le Sud Ouest du XVIIIe siècle. Il dispose d’un double pupitre ajouré, reposant sur une tablette en bois plein, ce qui contribue à sa stabilité.
Son piétement est composé de trois pieds disposés à la façon des racines d’un arbre, ce qui assure son équilibre.

Voici deux imposantes colonnes torses à double filet en noyer qui datent du XVIIIᵉ siècle. À l’origine, elles ornèrent la base de l’escalier monumental d’un édifice public de la région Midi Pyrénées. Elles s’apprêtent dorénavant à faire les beaux jours d’un décor de film ou d’une demeure privée.

Deux colonnes torses en noyer – XVIIIᵉ siècle – Midi Pyrénées – [ME105]

Voici deux imposantes colonnes torses à double filet en noyer qui datent du XVIIIᵉ siècle. À l’origine, elles ornèrent la base de l’escalier monumental d’un édifice public de la région Midi Pyrénées. Elles s’apprêtent dorénavant à faire les beaux jours d’un décor de film ou d’une demeure privée.

Voici une tourtière qui a la particularité d’avoir été coulée dans la foulée d’une cloche d’église, et ce afin de ne rien perdre du métal en fusion. Elle est donc faite du même bronze et peut donc être considérée comme la petite sœur d’une cloche, à quelques minutes près, à défaut d’en être la sœur jumelle.

Tourtière en bronze de cloche – XIXᵉ siècle – Sud Ouest – [MP043]

Est-ce que les tourtes cuites dans une tourtière coulée dans le même bronze et le même jour qu’une cloche d’église ont une odeur de sainteté ? Vous le saurez en testant cet objet fort rare, une authentique tourtière en bronze de cloche, prête à assurer sur son trépied une cuisson des plus traditionnelle sur feu de bois.

Offert au titre de dote par le père de la mariée, ce coffre en chêne naturel, orné de tulipes et d’un bouquet champêtre, remplissaient au XVIIIᵉ siècle deux fonctions : contenir les effets personnels de la jeune épouse et permettre au couple de s’asseoir au pied de leur lit, en toute intimité. D’où son appellation de coffre bout de lit.

Coffre bout de lit en chêne naturel – XVIIIᵉ siècle – Sud Ouest – [MP046]

Il fleure bon la cire d’abeille qui embaume son chêne naturel depuis ce XVIIIᵉ siècle qui l’a vu naître, symbole de l’union d’un couple de jeunes mariés dont les initiales étaient M et P… Ce coffre bout de lit a bien hâte de retrouver une chambre où l’amour sera roi, où l’amour sera loi, etc.

Voici un mélard de forme globulaire, doté de son couvercle d’origine. Cette grosse jarre provient d’un centre potier d’Auvergne où elle fut montée à la main, au colombin, au cours du XIXe siècle. Elle eut pour fonction la conservation de vivres comme les farines de seigle ou de blé ou les viandes fumées ou salées.

Mélard à couvercle en terre vernissée – XIXᵉ siècle – Puy-de-Dôme – [PA076]

Où mettre le lard ? Dans un mélard pardi ! Ces magistrales pièces d’argile, ancêtres de nos chambres froides, ont su longtemps sauver nos précieuses victuailles, à l’abri au sein de leurs panses brillantes et protégées sous leurs couvercles dédiés.

Fabriqué avec les essences locales du Périgord, châtaignier et merisier, ce petit banc destiné à être placé au plus près de l’âtre pour s’y réchauffer avait aussi vocation à abriter bien au sec le sel si précieux pour la conservation des aliments. Il a vécu dans une petite ferme du Périgord au XIXe siècle et témoigne d’une vie simple, sachant prendre son temps, au rythme des saisons.

Banc coffre à sel en châtaignier et merisier – XIXᵉ siècle – Périgord – [MP042]

Permettre de s’asseoir au chaud tout en protégeant dans son sein le précieux sel de l’humidité, telle fut la vocation de ce joli banc coffre à sel, aussi appelé cantou, qui fit les beaux jours d’une ferme du Périgord traditionnelle.

Juchée sur ses pieds tournés reliés par une entretoise en os de mouton, cette jolie table à poser en noyer a connu les campagnes chevaleresques d’un seigneur périgourdin du Moyen-Âge. À chacune de ses haltes, c’est sur elle que l’on posait le coffre écritoire dédié à la rédaction des actes notariés régissant les droits et devoirs des différents belligérants.

Table à poser en noyer – Louis XIV – XVIIᵉ siècle – Périgord – [ME101]

Elle a connu la fougue des chevaliers et l’inflexibilité de leurs plumes sur les champs de bataille, au moment de rédiger déclarations de guerre ou armistices de paix. Cette table à poser était là pour soutenir sans faille le coffre écritoire qui accompagnait son valeureux seigneur aux frontières de son fief et jusqu’en Terre Sainte.

Galbée sur la façade et sur les côtés, cette commode Rocaille en noyer blond Louis XV conjugue chic et élégance. Tout ici est douceur, rondeur et féminité. En haut des montants, des chutes de bronze en feuilles d’acanthe répondent aux mêmes motifs sculptés dans le noyer sur la traverse du bas, qui par ailleurs porte en son sein une coquille Saint-Jacques délicatement ouvragée.

Commode Rocaille aux feuilles d’acanthes – Louis XV – XVIIIᵉ siècle – Est de la France – [ME100]

Elle est tout en rondeur et arbore fièrement ses feuilles d’acanthe, façonnées en chute de bronze sur ses montants et ses poignées, ou sculptées dans le noyer. Cette commode Rocaille Louis XV jouit d’une délicatesse toute féminine. Elle enchantera la douce chambre où elle continuera sa noble vie, entamée en France au XVIIIe siècle

Éblouissante par la qualité de son ornementation constituée de motifs quadrilobés sur chacune de ses quatre portes, cette armoire lingère Louis XIV du VIIᵉ siècle constitue une authentique rareté dont on ne trouve l’équivalent, de nos jours, que dans l’un des châteaux de Grand Brassac en Périgord vert.

Lingère à caissons aux motifs quadrilobés – Louis XIV – XVIIᵉ siècle – Périgord – [ME099]

Ne cherchez plus le trèfle à quatre feuilles, il est sous vos yeux sous forme d’une éblouissante armoire lingère du XVIIe siècle Louis XIV en noyer blond, toute prête à protéger vos trésors vestimentaires sous ses incroyables motifs quadrilobés.

Voici deux belles jarres à huile provenant du centre potier historique du Quercy. Celle de gauche présente une glaçure jaune, trois anses et un bec pincé. Celle de droite présente une glaçure verte, une anse dorsale et un bec ponté orné d’une bande digitée, élément esthétique tout à fait inhabituel.

Deux jarres à huile – XVIIIᵉ siècle – Quercy – [PA070 – PA071]

Deux joyeuses jarres à huile – XVIIIᵉ siècle – Quercy – [PA070 –PA071], L’une est entièrement décorée à la mollette, l’autre a bénéficié qui plus est d’un décor au doigt. Toutes deux proviennent du centre potier historique du Quercy, ce qui leur confère rondeur, grâce et générosité.

Coffre de gente Dame en chêne – Louis XIV – XVIIᵉ siècle – Périgord – [ME087]

Coffre de gente Dame en chêne – Louis XIV – XVIIᵉ siècle – Périgord – [ME087]

Ce rare coffre Louis XIV provient d’un Manoir de la sénéchaussée de Sarlat, en Périgord noir, où il fut offert au XVIIᵉ siècle par le Gentilhomme maître des lieux Dans l’esprit d’un coffre de chevalier en Croisade, voici un somptueux coffre Louis XIV de gente Dame qui ne connut que les dentelles et les soieries de ses délicats effets personnels.